mardi 22 octobre 2013

Bal des fantasmes 2013 (5/7)


Jusqu'à minuit, Hombre et moi nous sommes prêtés au jeu de tout voir, tout regarder. Ayant compris qu'il s'agirait probablement d'une soirée « entre nous », nous avions décidé de la prendre telle quelle.
Les spectacles étaient de qualité. Les 3 personnes qui jonglaient avec le feu ont proposé, aux alentours de 22H, une très belle chorégraphie accompagnés d'une violoniste, jeune, belle, sexy, costumée, masquée, et talentueuse.
Il y a eu une démonstration de Shibari, l'art du bondage japonnais dont je suis assez admirative, dans la grande salle de la discothèque. Moi qui était habituée aux cordes de chanvre et coton des magnifiques images de l'Ecole Des Cordes, où les modèles sont de plus, bien souvent, nue ou en costume japonnais, j'étais un peu de voir cette femme dans cette combinaison – collant en voile de lycra et les cordes visiblement en synthétique. L'aspect moderne ne m'a pas permis d'aprécier la complexité des nœuds. En revanche, la suspension était magnifique et la modèle devait avoir certains talents de gymnaste. Peu a peu, celui qui officiait a coupé les cordes de suspension, à un moment, elle n'était maintenue que par une cheville. Malgré cela, elle évoluait en souplesse, ajustant sa position, déployant ses muscles bandés par l'effort. L'homme, avec un ciseau, faisait des trous dans le collant, puis ouvrait les trous en déchirant pour faire apparaître des morceaux de peau.
Dehors, il y avais au niveau de la scène un shooting photo avec un loup blanc. A un moment, le maitre du loup est parti avec lui le reposer, et le photographe a proposé de continuer avec la chouette, peu de personnes étaient motivées car il fallait poser avec le fauconnier qui ne se séparait pas de l'animal, nous qui voulions un souvenir sans faire la queue, nous en avons profité. Je ne sais pas ce que donnera la photo, j'ai souvenir que le fauconnier voulait à tous prix mettre l'oiseau entre Hombre et moi, et que pour cela, son bras devait passer devant moi et me masquer en partie. On verra bien.

Entre ces moments là, nous mangions, buvions, déambulions. Les sushis étaient très bons, ainsi que la viande. D'autres choses étaient moins pratiques. Dans notre programme, se trouvait une carte à soulever après 22H30 avec, en dessous, un défi. Sur la notre était inscrit :
CAPES.

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POUR AVOIR LE TEXTE ENTIER, CE SERA DANS LE LIVRE " CHRONIQUES LIBERTINES", PARUTION DERNIER TRIMESTRE 2018 AUX EDITIONS FILOSPHERES....
http://filosphere.free.fr/2/crbst_21.html

BISES.


PANDEMOS.

La suite ICI.

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