Première partouse, trio, leçon de libertinage
Une semaine de vacances libertines sans enfants, racontée en cinq épisode :
Episode 5 : retour à la réalité, leçon de libertinage et culpabilité.
Episode
3 : Un contraste colossal (par Hombre)
« Elle
avait envie de trio. Je le savais depuis quelques temps mais je
restais prudent. Un autre homme et toi pour seule femme ? HHF ??
Attends, je vais sur le net : excitant, finalement. En image.
Pourquoi pas... aah, c’est bon. Vite un mouchoir !
Quelqu’un
l’a su très vite et proposé ses humbles et virils services. Déjà
? Ma femme est efficace et c’est souvent une qualité... Mince
alors !, fit-elle, tu sais, Untel a saisi cette perche pourtant fort
négligemment tendue ! Quelle perche ? Il y avait une fenêtre.
Nous pouvions facilement saisir la perche qu’on nous tendait en
retour. Concours de perches tendues. Bon. La mienne sera-t-elle au
rendez-vous ?
Plan : jour Jeudi on le reçoit ; jour J + 1 au club, diner et plus si… Ah bah non, il travaille le J+1, donc trio le Vendredi soir c’est mieux pour se reposer le lendemain. D’accord : club le jour J et trio à la maison le J+1=V, veille de WE. On est sans enfants cette semaine, il faut en profiter !
Aller en club les jours J, initialement jour T comme trio, est une bonne idée pour expérimenter la plurimâlité (toux inquiète) puisque c’est une soirée mixte, n’est-ce pas ? Sans doute l’ai-je vaguement pensé, mais aujourd’hui j’ai de graves réserves à émettre. Le J vire au
H++ quand les clubs sont
déserts. Et trop de H tue le T.
(pour les nuls : H =
homme, H = homme, F=femme, J = jeudi, V=vendredi,
T = trio)
T = trio)
Nous avions réservé
pour le diner. Rien de tel pour rencontrer des gens, se dit-on. Trois
femmes, dont deux très expérimentées, un peu élimées même,
servaient d’apériscopes à sept samouraïs de bas étages, sabres
entre les dents, dont je me pensais le plus distingué… sans
rire. A notre table ronde des regards plus cavaliers que chevaliers pesaient sur ma compagne et m’enfonçaient dans une réticence presque haineuse, peu libertine au vrai. Jamais je ne me suis senti aussi « mâle » en club, du genre de ceux qui interdisent l’accès à la femelle.
En conséquence, un jeune fringuant qui cannibalisait ma protégée des yeux depuis notre entrée s’est rabattu pour la danse sur une quinqua apprêtée pour la soirée, disons même rafistolée, en désespoir de cause. Le spectacle virait au glauque avec les arrivées tardives des bites errantes, suintantes, de quelques messieurs Jourdain de PMU.
rire. A notre table ronde des regards plus cavaliers que chevaliers pesaient sur ma compagne et m’enfonçaient dans une réticence presque haineuse, peu libertine au vrai. Jamais je ne me suis senti aussi « mâle » en club, du genre de ceux qui interdisent l’accès à la femelle.
En conséquence, un jeune fringuant qui cannibalisait ma protégée des yeux depuis notre entrée s’est rabattu pour la danse sur une quinqua apprêtée pour la soirée, disons même rafistolée, en désespoir de cause. Le spectacle virait au glauque avec les arrivées tardives des bites errantes, suintantes, de quelques messieurs Jourdain de PMU.
Pour sauver la fête, un couple qui n’avait pas diné avec nous affichait des arguments plus convaincants. Ces deux là dansaient indifférents aux prédateurs environnant. Nous, Pando et moi, nous sommes retranchés dans la pénombre, assis dans un coin, en observation. La danseuse exhibait un joli corps, peut-être un peu retouché.
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POUR AVOIR LE TEXTE ENTIER, CE SERA DANS LE LIVRE " CHRONIQUES LIBERTINES", PARUTION DERNIER TRIMESTRE 2018 AUX EDITIONS FILOSPHERES....
http://filosphere.free.fr/2/crbst_21.html
BISES.
PANDEMOS.
La suite ICI.
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