mardi 8 octobre 2013

Premier repas libertin et soirée Black Out au Vahiné (7/8)

Une sortie de Septembre 2013 racontée en 8 épisodes (cliquer pour accéder) :

- Episode 1 : Post Cap d'Agde et rendez-vous ratés
- Episode 2 : L’idéed’un repas, préparation, choix des invités

Episode 7 : Ça y est, je « l'ai » fait.
C’est comme si nous étions seuls sur la piste, nous ne pensions plus aux autres, juste au désir qui montait en nous. Nous nous embrassions à pleine bouche. Hombre avait passé le haut de ma nuisette sous mon soutien-gorge, libérant mes seins pour pouvoir les malaxer et les sucer. Moi, j’avais glissé ma main dans son caleçon et je sentais son sexe tendu palpiter sous mes doigts. Nous respirations s’accéléraient. J’ai senti un autre souffle dans mon cou, d’autres mains sur mes seins. Je me suis mise à soupirer, sans chercher à savoir à qui elles appartenaient.
Contre Hombre, une petite femme brune. Une caricature. Colombienne ou mexicaine, les seins refaits, mais très bien refaits, les formes parfaites. Très à l’aise, vêtue d’un costume d’infirmière érotique. Elle était belle, oui, mais elle ressemblait vraiment à une actrice porno. A travers les vapeurs de mon désir et de mon cerveau qui fonctionnait au ralenti, j’ai enfin compris qu’Hombre me demandait du regard si le couple me plaisait. Le couple ? Quel couple ? Ah oui, cette colombienne. Et l’homme ? A quoi il ressemble. Il était en train de m’embrasser de façon délicieuse, à la fois langoureuse, tout en me mordillant la lèvre inférieure. Ça donnait un côté un peu sauvage, je me suis dit qu’il faudrait que je dise à Hombre de m’embrasser comme ça dans les moments où on fait l’amour sauvagement. J’ai essayé de reprendre mes esprit pour le regarder. Ah oui, bof. A priori, c’était pas mon genre. Plus âgé, type méditerranéen, je pense qu’il était espagnol, ou portugais, très poilu sur le torse, chaine en or, bagues en or, un after chave un peu fort. Mais bon, il s’agissait juste d’un coup dans une soirée. Il était doux avec ses mains. J’ai repensé à l’italien croisé aux mousses du Glamour, qui était beau, excitant, mais brutal. J’ai répondu à Hombre du regard « ça va » puis j’ai refermé les yeux et je me suis laissé aller. Oui, il devait être espagnol car il susurrait des trucs dans une langue que je ne comprenais pas. La facilité avec laquelle je perdais pieds et me laissais aller m’a soudain fait peur j’ai eu besoin de voir Hombre, de le toucher. Dès que j’ai eu mon bras sur son épaule, je me suis sentie rassurée, j’ai laissé l’espagnol mettre mon autre main dans son caleçon. Il m’a demandé si je voulais qu’on monte à l’étage. Je n’étais plus capable de penser, je n’en savais rien, j’ai posé la question à Hombre. Un peu étonnée, il m’a répondu « d’accord ».

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POUR AVOIR LE TEXTE ENTIER, CE SERA DANS LE LIVRE " CHRONIQUES LIBERTINES", PARUTION DERNIER TRIMESTRE 2018 AUX EDITIONS FILOSPHERES....
http://filosphere.free.fr/2/crbst_21.html

BISES.

PANDEMOS.

La suite ICI.

 

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