The Freedom Night (1/9)

The Freedom Night, la plus grande nuit libertine de France. C'était à Marseille, aux Docks Des Suds, le Mardi 30 Avril 2013. Récit en 9 épisodes...

Episode 1 : une double vie qui s'installe, la pensée du libertinage qui devient plusconcrète.
Episode 2 : Cinq mois, trois club, quelques rencontres, beaucoups d'envies, çaprogresse...
Episode 3 : Les« objectifs secrets » de cette soirée. 
Episode 4 : On essaye encore les fameux sites de rencontre ?
Episode 5 : Lecompte à rebours commence : 

Episode 6 : « La plus grande nuit libertine de France », c'est la sardine qui a bouché le Vieux Port... 
Episode7 : Ça y est, on est dans la place. Visite des lieux.
Episode 8 : Que la fête commence !
Episode 9 : Coins coquins et hésitations... et conclusions

  

Episode 1 : Une double vie qui s'installe, la pensée du libertinage qui devient plus concrète.

«  Ce soir je serais la plus belle pour aller danser-er-er-er, danser ! »

Ce soir, il y a quelques soirs (le 30 Avril), nous sommes allés danser, au docks des suds, à Marseille, lors de la Freedom Night. Évènement annoncé depuis plus d'un mois sur Nétéchangisme et quelques autres sites (dont cellule de la freedom night, créé pour l'occasion) comme « La plus grande nuit libertine de France. »

J'avais eu l'information de cet événement grâce au Forum, qui était devenu mon mentor d'apprenti libertine. Hombre et moi en avions discuté, pas très longtemps, et décidé de nous y inscrire. Après trois sorties en club libertins, je me sentais toujours aussi débutante, voir assez nulle dans ma capacité à lier des liens, mais au moins, j'étais moins impressionnée.

Depuis qu'Hombre et moi vivions ensemble, nous avions une sorte de double vie assez décalée, et depuis quelques mois, ce décalage s'accélérait encore.

Très vite, nous avions fait deux enfants coup sur coup, alors que j'en avais déjà un très jeune avec mon ex mari. De plus, je travaillais dans le domaine de la petite enfance, ce qui devait me faire paraître comme « LA référence » en matière d'enfants et toutes mes copines n'hésitaient pas à me refiler leur bébés très régulièrement.

Notre étiquette extérieure est donc celle là : un couple parental gentil, un peu hippie, plus « baba » » que « bobo » (pour des raisons financières, mais être bobo, franchement, j'adorerais), dans une maison en bazar, pleine de jouets, de couches lavables colorées et de nourriture bio qui fleur vaguement les huiles essentielles et le gateau dans le four. Bref, ce genre de couple qu'on imagine avec une sexualité plutôt limitée, en raison de leur nombre d'enfant et leur mode de vie.

Physiquement Hombre est pas mal, moi j'ai un physique plus atypique, à la fois grande et ronde, et je suis généralement habillée de sandales en cuir plate, de robes de bohémienne bariolées, pratiques et non salissantes, foulards dans les cheveux... Je ne passe pas inaperçu, mais je n'évoque pas non plus la sexualité (sauf, peut-être, dans son côté « gourmand »).

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POUR AVOIR LE TEXTE ENTIER, CE SERA DANS LE LIVRE " CHRONIQUES LIBERTINES", PARUTION DERNIER TRIMESTRE 2018 AUX EDITIONS FILOSPHERES....
http://filosphere.free.fr/2/crbst_21.html

BISES.

PANDEMOS.

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